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Eramet, partenaire du Sommet de l’Engagement Sociétal

Eramet, groupe minier et métallurgique mondial, est un acteur clé de la valorisation de métaux (manganèse, nickel, sables minéralisés) et de l’élaboration d’alliages à forte valeur ajoutée (aciers rapides, aciers à hautes performances, superalliages, alliages d’aluminium ou de titane). Le Groupe accompagne la transition énergétique sur des activités à fort potentiel de croissance, telles que le lithium et le recyclage des batteries électriques. 

En s’appuyant sur l’excellence opérationnelle, la qualité de ses investissements et le savoir-faire de ses collaborateurs, le Groupe déploie un modèle industriel, managérial et sociétal vertueux et créateur de valeur.

Les engagements

Entreprise citoyenne et contributive, Eramet œuvre pour une industrie durable et responsable. Son engagement sociétal est un axe fort de sa vision d’entreprise. La RSE a été placée au centre du modèle Eramet, convaincue que sa présence à long terme dans les territoires où elle est implantée dépend en grande partie de sa capacité et de celle de ses équipes à créer de la valeur partagée avec les pays hôtes. 

C’est dans cette optique que nous mesurons scrupuleusement l’avancée des treize objectifs que nous nous sommes fixés d’ici 2023 dans le cadre de notre feuille de route RSE. Un programme ambitieux qui répond aux Objectifs de Développement Durable (ODD) des Nations Unies et qui s’articule autour de l’humain, de l’économie et de l’environnement. 

La raison d’être d’Eramet qui porte cette vision vient d’ailleurs d’être inscrite dans ses statuts et nourrit les actions quotidiennes de tous nos collaborateurs et de nos parties prenantes, quels que soient nos implantations. 

Eramet a souhaité partager son expérience au cours de ce Sommet de l’Engagement Sociétal par le biais de l’action de ses filiales : la Comilog et la Setrag au Gabon, GCO au Sénégal mais aussi au Cameroun où notre filiale Eracam a débuté l’exploration dans les sables minéralisés.

Les initiatives

Gabon

La Fondation Lékédi Biodiversité

En marge de son activité minière, Comilog œuvre pour l’environnement et la préservation de la biodiversité à travers le Parc de la Lékédi. Cette réserve naturelle de 14 000 hectares occupe l’emplacement de l’ancien téléphérique de Comilog, décommissionné à la fin des années 1980. Inauguré en 1994, le parc est depuis géré par SODEPAL (Société d’exploitation du parc de la Lékédi), filiale de Comilog. Il participe notamment à la protection des singes et des primates, et est accrédité par le Pan African Sanctuary Alliance (PASA) depuis 2017. La Fondation Lékédi Biodiversité, créée conjointement par Comilog et Eramet et inaugurée en juin 2021, renforce le statut du Parc de la Lékédi qui se dote de moyens supplémentaires pour préserver la biodiversité du Gabon, réhabiliter les primates orphelins et développer la recherche scientifique. 

Gabon

Comilog partenaire du Samu Social gabonais

Développer l’accès à la santé pour tous est un des engagements sociétaux de Comilog : depuis les années 1980, l’entreprise finance entièrement l’Hôpital Marcel Abéké dans la ville de Moanda, lieu d’implantation historique de l’entreprise. Aujourd’hui, Comilog va plus loin pour rendre ces soins accessibles à tous, y compris aux personnes les plus démunies. En effet, à Moanda, 75 % des patients sont dans l’incapacité de payer les consultations et les médicaments de l’hôpital public ; d’autres ne peuvent simplement pas se déplacer jusqu’à l’hôpital. C’est pour répondre à ce besoin de soins accessibles et gratuits que le premier Samu Social gabonais, fruit d’un travail commun entre l’Etat gabonais et le Samusocial International, situé en France, a été lancé en 2017 à Libreville. Face à ces résultats très positifs, Comilog s’est lancée et a financé une 6ème implantation du Samu social à Moanda, opérationnelle depuis février 2020.

Sénégal

GCO : une gestion des eaux vertueuse

La drague de Grande Côte Opérations (GCO) se déplace d’environ 6 kilomètres par an sur un bassin artificiel. L’entreprise prélève de l’eau  dans la nappe maastrichitenne et pas dans la nappe superficielle. GCO « recycle » l’eau utilisée via des pompages installés le long de la mine, à l’aide de petits forages de recyclage. L’eau récupérée est ensuite renvoyée vers la mine pour alimenter son bassin et vers la nappe superficielle ce qui permet d’en augmenter la quantité utilisée par les communautés. En 2019, sur 17 millions de mètres cubes d’eau versés dans le bassin, 45 % sont issus du recyclage. Le tout fait l’objet d’un dispositif de surveillance très complet. Les niveaux de la nappe profonde sont surveillés en continu à l’aide de 3 piézomètres profonds (des tubes permettant d’accéder aux nappes phréatiques pour surveiller leur niveau). Le niveau de la nappe superficielle est contrôlé tous les jours par GCO, et l’information est analysée et transmise aux autorités locales, qui se rendent sur le site chaque mois.

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